Il ne fallait plus que la mascarade de ce vendredi 29 Novembre à Yaoundé pour confirmer la position sécessionniste de cette dernière au sein du mouvement journalistique au Cameroun.
Depuis quelques mois maintenant, Bertille MISSI BIKOUN et ses hommes de main sont engagés dans un mouvement séparatiste avec pour seul objectif, la prise par la force de la direction de l’Association des Journalistes Sportifs du Cameroun avec une seule ambition, la course effreinée aux postes dans les différentes commissions du CHAN 2020 et de la CAN 2021 au Cameroun.
Cette forfaiture a commencé depuis le mois de Mai dernier et celle-ci avait alors organisé une réunion dite Assemblée Générale de l’AJSC où l’on retrouvait non pas des journalistes de sport, mais bien des photographes des mairies et Eglises spécialisées dans les mariages et Baptèmes.
Pourtant cette dernière était bien présente lors de l’assemblé général de Sangmélima présidée par le président légal de l’AJSC Eric Martial DJOMO où le nouveau Logo de l’association avait été validé. Mais celle-ci animée d’une volonté pouvoiriste mais surtout des envies égoistes s’était alors empressée d’aller faire confectionner un logo lugubre dont le graphisme antique laisse à désirer et qui ne représente en rien la niveau actuelle de l’association, les valeures qu’elle incarne mais surtout les Hommes qui la composent. Accompagnée dans cette bataille par des personnes en manque de notoriété et de personnalité telles que ATANGANA FOUDA, Gustave SAMNICK et autres encore celle-ci s’est servie de sa position d’attachée de presse au sein de l’entreprise PRIME POTOMAC pour aguicher certains et faire chanter d’autres hommes de la presse sportive, afin de les lier à sa cause mal intentionnée. Elle s’est servie de cette structure par ailleurs responsable de certains chantiers liés à la CAN dans la ville de Garoua pour asseoir son banditisme intéllectuel. Une société PRIME POTOMAC elle-même en mal puisqu’elle est aujourdhui majoritairement responsable du retrait du site de Garoua lors du prochain CHAN et qu’elle a pour le moment une demande d’explication sur la table du MINSEP.
A croire que ceux qui en sont responsables de près ou de loin sont toutes des personnes sans foi ni loi et pas dignes de confiance.
Lors de cette soit disante AG, l’on cherche les visages et noms véritables du journalisme sportif Camerounais en vain. La représentativité des régions est questionnée. Douala pôle du journalisme en général et sportif en particulier n’y est représenté que par des personnes dont la plume et la carrière interpellent et pas dans le sens positif. Les régions anglophones sont mises à l’écart et seules deux y sont. L’Ouest et sa grande presse n’y est quasiment pas mis à part quelques journalistes à peine capable de rédiger une attaque de papier ou encore une brève. Le grand Nord et ses trois régions ont été oubliés pourtant Bertille BIKOUN vient de passer 3 ans à y bosser.
Pourtant dans une démarche légaliste telle que demandée par l’AIPS, le président légalement élu de l’AJSC Eric Martial DJOMO s’est plié à la recommandation du comité Ad Hoc conduit par le professeur Félix ZOGO le seul à pouvoir selon la situation actuelle tenir une AG au sein de cette association. Plusieurs fois Bertille BIKOUN a tenté d’infiltrer ce comité Ad Hoc afin de distraire les membres qui le constituent sans succès d’où la tentative de passage en force de ce vendredi à Yaoundé.
Au regard de ce qui précède, il est clair que l’ambition unique de Bertille MISSI BIKOUN est celle de créer la sécession au sein de l’association des journalistes sportifs du Cameroun, afin de bénéficier seule ou alors avec 4 vieux en manque de notoriété des avantages que peuvent générer ces postes au sein de cette association, au détriment de l’ensemble et grand mouvement journalistique du sport au Cameroun pays d’Abel MBENGUE, de BONY Phillipe et de Martin Camus MIMB.